Dans un curieux rapport mis en ligne le 26 février 2021, en mettant d’une part l’Etat du Cameroun et les séparatistes à égalité de légitimité, et en prenant manifestement être maladroitement fait et cause pour des groupes armés, Human Right Watch, reste fidèle dans son imposture et sa forfaiture habituelles. Des sources indépendantes parlent de deux millions dollars encaissés pour saboter le Cameroun.
Pour qui roule Human Rights Watch? La question se pose avec acuité au regarde des multiples élucubrations mensongères débitées par cette organisation non gouvernementale, désormais érigée en une officine à pamphlet lorsqu’il s’agit de pondre des sornettes de caniveaux sur le Cameroun. En réalité, si d’aucuns doutaient encore des manœuvres de HRW ayant pour seule ambition la déstabilisation du Cameroun, de nombreux observateurs aujourd’hui semblent plus que jamais convaincus que cette ONG a manifestement pris fait et cause pour les terroristes qui font de tous bois, depuis plus de quatre ans déjà, pour dicter leur loi dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
Biens plus, ce rapport de HRW mis ne ligne le vendredi 26 février, tout comme les précédents rapports de cette même ONG, est un fatras habituel de plus, de nombreux choisis de faits dénaturés, à dessein vulgarisés par un récit partisan de HRW pratiquement mué en acteur, voire partisan de l’insécurité dans les régions administratives du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun, environnement dans lequel il semble évoluer en terrain conquis, aidé en cela par ses affidés locaux, véritables relais du lobby de l’esclavagisme international dont les prises de position anti-Cameroun n’étonne plus.
Dans ce curieux rapport de plus justement, comme il est devenu de tradition pour cette ONG, HRW distille des allégations prétendument documentées de destruction, viols et meurtres commis le 1er mars 2020 par des éléments des forces de défenses et de sécurité dans le village de Ebam, arrondissement de Eyumojock, département de la Manyu, région du sud-ouest. Pourtant, de ce qui relève de la bonne information, il convient de noter que dans la nuit du samedi 289 janvier au dimanche 1er février mars 2020, une opération de bouclage menée par des éléments du 22e bataillon d’infanterie motorisée a progressivement pris position autour du village de Ebam ; l’action proprement dite fut lancée au petit matin du dimanche 1er mars 2020. L’objectif de l’opération était de mettre hors d’état de nuire des terroristes armés qui avaient fait de la localité une base arrière de planification des attaques dans l’arrondissement d’Eyumojock et ses environs. Ainsi, le détachement, constitué d’une vingtaine d’hommes et non de 50 soldats (information erronée) tel que l’affirme HRW dans son flot de diatribes à la charge du Cameroun, était encadré et commandé par un officier. Au terme de ce boulage qui a duré quelques heures, le bilan était de : 01 arme artisanale et des munitions récupérées, 16 motocyclettes saisies, 04 terroriste neutralisé, 35 individus interpellés et mis à la disposition de la compagnie de gendarmerie de Mamfé pour exploitation. Aussi, il convient de souligner que les responsables de cette unité avaient procédé à la remise en liberté immédiate d’un individu déclaré atteint de multiples pathologies, avant de boucler l’interrogatoire des 34 autres, qui avaient à leur tour été libérés dans la soirée de ce même dimanche 1er mars 2020.
Ll y’a donc lieur de s’interroger sur ce sensationnel de HRW qui cache mal le mensonge et cultive la déstabilisation à peine voilée, à savoir : « lors d’une attaque commise par des soldats camerounais le 1er mars 2020, au moins 20 femmes dont 4 femmes handicapées, ont été violées, un homme tué et 35 autres arrêtés », un grossier mensonge de cette ONG qui rime avec sabotage d’une base terroriste clairement repérée constituerait une « grave» violation des Droits de l’homme tel qu’affirme Human Rights Watch ? Pour de nombreux observateurs avertis, une fois encore, en mettant d’une part l’Etat du Cameroun et les séparatistes à l’égalité de légitimité, et en prenant manifestement et maladroitement fait et cause pour des groupes armés, Human Rights Watch reste donc fidèle dans son imposture et sa forfaiture habituelles.
Les attaques répétées contre le Cameroun et son armée par ces Ong en tête desquelles HRW, qui servent les intérêts des réseaux mafieux sont honteuses et indécentes. Ça n’émeut plus. Ça n’intéresse plus, car le disque est rouillé. Toujours est-il qu’elles ne sont pas fondées sur les faits avérés mais uniquement motivées par la volonté de nuisance pouvant amender à céder au chantage. Les camerounais lucides notent toutefois que jamais cette Ong n’a daigné jusqu’ici rendre compte de manière objective des évènements dans les régions du Nord-ouest et du sud-ouest. Elle s’est toujours attelée dans une abnégation particulière, à un acharnement et une diabolisation systématique de l’armée camerounaise.
Il semble que parler des camerounais ordinaires ou les éléments des forces de défenses et de sécurité d’atrocités n’est pas de nature à encourager la générosité des donateurs, première cible de HRW qui semble avoir définitivement fait du sang des victimes le lit de son fonds de commerce. Cette tentative de déstabilisation n’est qu’un pétard mouillé. Ceux qui s’acharnent contre le Cameroun et son armée usent du terrorisme psychologique pour tenter de les soumettre à leurs pressions multiformes.
Malgré ces attaques honteuses de HRW, le Cameroun et son armée restent sereins. L’armée camerounaise poursuit avec quiétude, force et conviction ses missions avec efficacité, dans le respect des règles d’engagement. Elle sait avoir la main disciplinaire lourde sur les hommes lorsque certains d’entre eux viendraient à les violer. L’armée camerounaise qui brille par son abnégation au travail et la sérénité, n’étend pas céder aux sirènes déstabilisatrices de ces oiseaux de mauvais alois qui n’ont de cesse de pondre des brulots grossiers pour tenter de ternir son image de marque.
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